Mardi 25 septembre 2012, à 19h00
Cafétéria de la Médiathèque Emile Zola,
218 Bd de l'Aéroport International, 34000 Montpellier
Cafétéria de la Médiathèque Emile Zola,
218 Bd de l'Aéroport International, 34000 Montpellier
avec la participation de :
Gérard Jasniewicz, astronome au Laboratoire Univers et Particules de Montpellier (LUPM)
Pascal Kosuth, directeur de la Maison de la Télédétection (TETIS-Irstea), chercheur au Laboratoire Territoires, Environnement, Télédétection et Information Spatiale (TETIS),
Frédéric Piron, physicien au Laboratoire Univers et Particules de Montpellier (LUPM)
Le premier satellite (Spoutnik 1) a été lancé en 1957. Depuis, les satellites sont devenus des outils de notre vie quotidienne (météorologie, télévision, GPS). Ils constituent également un formidable arsenal au service de la recherche scientifique et ont révolutionné notre façon d’observer et de comprendre notre planète Terre et l’Univers.
Une centaine de satellites suivent en continu l’état des continents, des océans et de l’atmosphère. Depuis des orbites polaires (à un millier de km) ou géostationnaires (à 36000km), ils embarquent une grande diversité de capteurs permettant de multiples mesures (champ magnétique, gravité, relief des continents et niveau des mers, température et salinité des océans, composition chimique de l’atmosphère, végétation, état de la banquise, activités humaines, déplacement des animaux…). Ils permettent, pour la première fois, de considérer la Terre comme un système, d’étudier la complexité des interactions à sa surface et de quantifier et comprendre ses évolutions. D’autres satellites sont envoyés dans l’espace avec des télescopes qui orientent leurs détecteurs non plus vers la Terre, mais vers le ciel. Ils profitent alors de conditions d’observation exceptionnelles, très supérieures à celles que l’on trouve sur Terre, en s’affranchissant de l’atmosphère terrestre qui empêche les observations des astres aux longueurs d’onde les plus énergétiques.
Ces observations astronomiques dans l’espace, en plus de leur valeur scientifique intrinsèque, ont provoqué des avancées technologiques très concrètes dans le domaine des détecteurs électroniques ou des horloges atomiques. D'une manière générale, quelles sont les dernières technologies et les limites actuelles des satellites ? Quelles sont les ressources (temps, moyens humains, couts) nécessaires pour concevoir,lancer et opérer un satellite ? Quelles sont les collaborations entre investissements publics et privés dans l’espace ?
Pascal Kosuth, directeur de la Maison de la Télédétection (TETIS-Irstea), chercheur au Laboratoire Territoires, Environnement, Télédétection et Information Spatiale (TETIS),
Frédéric Piron, physicien au Laboratoire Univers et Particules de Montpellier (LUPM)
Le premier satellite (Spoutnik 1) a été lancé en 1957. Depuis, les satellites sont devenus des outils de notre vie quotidienne (météorologie, télévision, GPS). Ils constituent également un formidable arsenal au service de la recherche scientifique et ont révolutionné notre façon d’observer et de comprendre notre planète Terre et l’Univers.
Une centaine de satellites suivent en continu l’état des continents, des océans et de l’atmosphère. Depuis des orbites polaires (à un millier de km) ou géostationnaires (à 36000km), ils embarquent une grande diversité de capteurs permettant de multiples mesures (champ magnétique, gravité, relief des continents et niveau des mers, température et salinité des océans, composition chimique de l’atmosphère, végétation, état de la banquise, activités humaines, déplacement des animaux…). Ils permettent, pour la première fois, de considérer la Terre comme un système, d’étudier la complexité des interactions à sa surface et de quantifier et comprendre ses évolutions. D’autres satellites sont envoyés dans l’espace avec des télescopes qui orientent leurs détecteurs non plus vers la Terre, mais vers le ciel. Ils profitent alors de conditions d’observation exceptionnelles, très supérieures à celles que l’on trouve sur Terre, en s’affranchissant de l’atmosphère terrestre qui empêche les observations des astres aux longueurs d’onde les plus énergétiques.
Ces observations astronomiques dans l’espace, en plus de leur valeur scientifique intrinsèque, ont provoqué des avancées technologiques très concrètes dans le domaine des détecteurs électroniques ou des horloges atomiques. D'une manière générale, quelles sont les dernières technologies et les limites actuelles des satellites ? Quelles sont les ressources (temps, moyens humains, couts) nécessaires pour concevoir,lancer et opérer un satellite ? Quelles sont les collaborations entre investissements publics et privés dans l’espace ?
Thème préparé par l’IRSTEA et le laboratoire LUPM
Contact : bds@um2.fr // culture@univ-montp2.fr
04 67 14 48 34 / 06 37 32 63 79
Organisé par le Pôle Culture Scientifique de l'Université Montpellier 2 en partenariat avec les laboratoires LUPM et L2C .
